Des activités variées par une belle journée ensoleillée
Le vendredi 9 juin a eu lieu la 35ème journée sportive organisée par l’ADAPEI de Saint-Dié au Parc des sports.
Comme à l’accoutumée, les bénévoles du Club Cœur et Santé de Saint-Dié ont participé à l’encadrement des activités mises en place à l’intention de 350 enfants provenant des structures de l’ADAPEI de Saint-Dié et Saint-Amé et des écoles déodatiennes Vincent Auriol et Jacques Prévert.
La présidente Annie Thirion et le vice-président Michel Antoine étaient accompagnés pour l’occasion par 12 membres de club qui ont tenu différents ateliers : tennis de table, sarbacane, parcours d’obstacle, vélos, chamboule tout et parachute.
Faire du vélo sur la piste d’athlétisme a toujours autant de succès, sans oublier son casque.
D’autres ateliers étaient également organisés par d’autres adultes : tir à la carabine, curling, badminton, basket, pêche à la ligne ainsi qu’une structure gonflable en forme de château.
Les enfants répartis en groupes encadré par des éducateurs et des enseignants ont participé à ces différents ateliers tout au long de la matinée.
Il y avait aussi des activités d’adresse dans la salle omnisports, telle la sarbacane
La consommation de la frite mondiale ne cesse de grimper, elle a même atteint le pic de 11 milliards de kilos par an. Son mode de cuisson offre une texture craquante aux aliments mais malheureusement, la friture a des conséquences néfastes pour la santé du cœur.
Une méthode de cuisson très grasse
La friture est un mode de cuisson qui rend les aliments particulièrement gras. Après un bain rapide dans l’huile, la teneur en gras d’une pomme de terre passe de 0,1 g à 12 g ! Cela s’explique par 2 mécanismes : l’huile de friture qui remplace l’eau des aliments évaporée pendant la cuisson et l’absorption de l’huile au cours du refroidissement.
C’est ce dernier phénomène qui fait que plus les aliments sont fins, plus ils sont gras. Des études ont montré que les frites très fines (par exemple celles de la restauration rapide) étaient trois fois plus grasses que leurs consœurs plus épaisses.
On conseille pour cela une agitation mécanique des aliments frits au moment du refroidissement et leur passage dans un morceau de papier absorbant pour réduire au maximum l’absorption. Leur salaison immédiatement après leur sortie du bain est en revanche plus contestée : même si elle permet d’évacuer une partie des graisses, la consommation de sel qu’elle engendre s’avère aussi néfaste pour la santé du cœur…
Des aliments riches en mauvais gras
Cette forte teneur en lipides, qui peut contribuer à une balance énergétique excédentaire, est d’autant plus néfaste qu’ils font partie des « mauvais gras », réputés pour s’attaquer à l’intégrité des parois artérielles. Cela est dû aux matières grasses qui sont utilisées durant la friture : celles obtenues à partir d’acides gras saturés sont plus stables à des températures élevées et conduisent donc moins à la formation de composés potentiellement toxiques.
Les restaurants et les ménages ont donc logiquement tendance à opter pour des huiles qui vont rester intactes plus longtemps. Certains choisissent même la graisse animale (le fameux « blanc de bœuf ») pour le goût qu’elle procure aux aliments alors que sa teneur en acides saturés bat tous les records ! Et la consommation d’acides gras saturés en excès augmente le risque de maladies cardio-vasculaires.
Certains facteurs augmentent encore la teneur en gras
A l’origine très grasse, la friture peut l’être encore davantage. Les frites surgelées industrielles, qui offrent une économie de temps appréciable, sont toujours précuites à partir de mauvaises graisses et sont plus poreuses que les frites fraîches. Elles absorbent davantage d’huile durant la deuxième cuisson qu’une frite crue. Cela est aussi valable pour le blanchissement à l’eau ou l’huile des frites « maison ».
La température de friture a également une influence sur la teneur finale en gras des aliments frits.
Au-delà de 200° C, l’huile se dégrade, devient moins fluide et pénètre plus facilement dans les aliments ; en dessous de 140° C, la durée de la friture augmente, tout comme l’absorption de l’huile.
Source : Fédération Française de Cardiologie (FFC)
Un groupe radieux et souriant au départ, mais aussi tout le long de la marche.
En ce début d’après-midi, dimanche 3 juin, une quarantaine de participants se sont regroupés au carrefour des Quatre Chemins à proximité du Col du Haut Jacques pour participer à l’un ou à l’autre des circuits sans grande difficulté de 5,5 km ou de 8,5 km proposés par les animateurs du Club.
Le soleil, bien présent lui aussi, ne nous a pas quittés et a contribué au charme de cette balade sur chemins forestiers ou en sous-bois.
Après une halte à la Croix-Idoux, les marcheurs ont découvert, à mi-parcours deux roches insolites. La roche « Porte de la Grange » et l’autre, un peu plus à l’écart, avec une cavité assez importante et surprenante.
Méconnue des participants : la roche « porte de la Grange »
Un abri rudimentaire dans la cavité de la seconde roche
La balade se poursuit dans un environnement toujours aussi enchanteur
A l’arrivée, quelques participants du petit parcours attendaient patiemment sur l’aire de pique-nique du départ, le groupe du grand circuit qui avait un peu tardé sur l’itinéraire du retour…
Cette conférence est organisée par Humanis en partenariat avec la ville de Saint-Dié, le Conseil Départemental des Vosges, Siel Bleu, la Fédération Française de Sauvetage et de Secourisme et le Club Cœur et Santé.
Le club tiendra un stand lors de cette manifestation.
Participation gratuite sur inscription avant le 11 juin auprès de
Originaire de la Méditerranée, il existe plusieurs variétés d’huile d’olive qui agrémentent de nombreux mets. On évoque parfois l’huile d’olive pour ses bienfaits préventifs sur les maladies coronariennes.
Une composition pleine de bénéfices
L’huile d’olive est largement composée d’acides gras mono-insaturés (AGM). En substitution des acides gras saturés de l’alimentation, les acides gras mono-insaturés ont la capacité de diminuer le taux du mauvais cholestérol sanguin. A l’inverse, ils pourraient même accroître le taux de bon cholestérol sanguin. Aussi les AGM préviennent l’oxydation du mauvais cholestérol et les risques de développer certaines maladies cardio-vasculaires comme l’athérosclérose. Et l’huile d’olive contient davantage d’AGM que l’olive en elle-même.
Les radicaux libres entraînent du stress oxydatif et donc l’oxydation des cellules de l’organisme à l’origine de nombreuses pathologies dont les maladies cardio-vasculaires. Les composés phénoliques présents dans l’huile d’olive vierge font d’elle un bon antioxydant chez l’animal, mais cela reste encore à prouver chez l’être humain. L’olive est moins connue pour avoir des vertus antioxydantes.
L’huile d’olive, une huile profitable
On observe une diminution des risques de développer un infarctus du myocarde lorsque l’huile d’olive est associée à une alimentation équilibrée de type méditerranéenne.
L’augmentation du taux de bon cholestérol dans le sang réduit les risques de maladies cardio-vasculaires. A une dose quotidienne, l’huile d’olive influence l’augmentation du bon cholestérol et diminue par la même occasion les facteurs de risques cardio-vasculaires.
L’huile d’olive n’est pas à consommer en quantité excessive. Les conseils d’un nutritionniste pourraient être bénéfiques pour bien l’intégrer à son alimentation afin de profiter de ses bienfaits. Seule, l’huile d’olive ne prévient pas l’ensemble des troubles cardio-vasculaires. Aussi, elle ne pallie pas une alimentation riche en graisses non équilibrée.
Source : Fédération Française de Cardiologie (FFC)