200 personnes étaient présentes à l’assemblée générale
L’Assemblée générale 2018-2019 de l’Association de Cardiologie de Lorraine a eu lieu le vendredi 11 octobre à 18 heures à la faculté de Médecine de Nancy Brabois sous la présidence du Pr Etienne Aliot.
Dans son rapport moral, le Pr Aliot a d’abord fait état de la situation de la Fédération Française de cardiologie (FFC) telle que présentée lors de la dernière assemblée générale. Il a tout d’abord rappelé les missions sociales de la FFC :
Prévention des maladies cardiovasculaires par l’information et les actions d’éducation auprès du public.
Promotion et financement de la recherche cardiologique.
Incitation à la formation aux gestes qui sauvent.
Aide à la réadaptation et à la réinsertion des cardiaques.
Coordination des actions des association régionales.
Il a ensuite présenté quelques chiffres significatifs :
243 Clubs Cœur et Santé avec 17 000 membres qui participent aux activités physiques de phase 3 (plus d’explication sur cette phase 3 dans un article précédent : ).
600 000 participants aux Parcours du Cœur scolaires et grand public au printemps.
Diffusion de plus de 3 000 000 de brochures gratuites.
La tribune et une partie de l’assemblée
Il a rappelé le dynamisme de l’Association de Cardiologie de Lorraine (ACL)
Elle regroupe 21 clubs Cœur et Santé.
2476 adhérents (+ 4 %) ce qui en fait l’association régionale la plus importantes et la plus active de France.
Plus de 9 000 participants aux Parcours du Cœur.
Nombreuses actions lors de la Semaine du Cœur en septembre : conférences, rencontres avec les chercheurs, gestes qui sauvent, activités physiques…
Il a remercié les présidents et cardiologues des clubs et tous les adhérents sans qui l’ACL ne serait pas aussi active, sans oublier tous les donateurs qui permettent à la FFC et à ses associations régionales de mener à bien leurs missions statutaires.
Le rapport financier de l’exercice clos au 30 juin 2019 a été présenté par le trésorier, Daniel Fernandes, puis approuvé par l’assemblée, après quelques questions.
Evelyne Aznar (à gauche) succède à Anne Françoise Fernandes qui prend sa retraite
Le professeur Aliot a ensuite présenté Evelyne Aznar Robin qui a été embauchée comme assistante au sein de l’Association.
A la suite des élections qui ont eu lieu en septembre, un nouveau Conseil Administration (CA) a été élu. Annie Thirion et Jean-Louis Bourdon ont été réélus. Le CA s’est réuni avant l’assemblée générale et a désigné un nouveau bureau. Sa composition est la suivante : Pr Etienne Aliot (président), Dr Jean-Yves Thisse (vice-président, Thionville), Dr Jean-Louis Bourdon (secrétaire, Saint-Dié), Jean-Marie Humbert (secrétaire-adjoint, Jarny), Daniel Fernandes (trésorier, Nancy) et Carmela Tezza (trésorière-adjointe, Mondelange)
Puis, le président de l’ACL a honoré 7 de ses membres dont deux déodatiens en leur remettant la médaille régionale.
Denise Dombrat est présente au club depuis 25 ans. Elle a fait partie de son bureau pendant de nombreuses années et poursuit actuellement son action en participant à la recherche de circuits de marche et en les encadrant.
Jean-Paul Besombes est le trésorier du club depuis 10 ans, avec une charge en constante augmentation au vu du nombre croissant des adhérents et du développement des activités.
De droite à gauche : les médaillés Denise Dombrat et Jean-Paul Besombes aux côtés de Jean-Louis Bourdon, cardiologue, et Annie Thirion, présidente (Photo de Jean-Claude Wolff)
Enfin, les actions dans les différents clubs ont été présentées par un diaporama préparé par Daniel Fernandes, avant que les participants ne se retrouvent pour un moment convivial.
Prendre un petit déjeuner aide à prévenir les maladies cardiovasculaires
Vos médecins vous le disent régulièrement : il faut commencer la journée par un petit déjeuner.
Une étude d’une équipe de l’Université de Wuhan (Chine) publiée récemment dans une revue américaine de cardiologie (*) vient de le confirmer.
Cette étude prospective, a été réalisée à partir des données d’une cohorte nationale de 6 550 adultes de 40 à 75 ans suivis de 1988 à 1994, avec un âge moyen de 53.2 ans et 48.0% d’hommes.
Elle avait pour but de rechercher s’il y avait un lien entre le fait de ne pas prendre de petit déjeuner et la mortalité cardiovasculaire et la mortalité de toutes causes.
Les habitudes alimentaires des ces 6550 personnes sont le suivantes :
5,1 % ne prennent jamais de petit déjeuner,
10,9 % le prennent rarement,
25,0 % le prennent certains jours et
59,0 % le prennent tous les jours.
Les résultats confirment l’intérêt de prendre un petit déjeuner tous les jours Après ajustement, le risque de décès d’origine cardiovasculaire ou de décès de toutes causes est apparu plus élevé chez ceux ne prenant jamais de petit déjeuner par rapport aux sujets prenant régulièrement leur petit déjeuner tous les jours.
Parmi les explications à ces constatations, il y a le fait que ceux qui ne prennent pas de petit-déjeuner pourraient « se rattraper » dans la journée avec des aliments de faible valeur nutritionnelle et ayant un effet défavorable sur leur santé. Il est également évoqué la possibilité d’une tension artérielle plus élevée ou un mauvais profil lipidique. Plus simplement, cela pourrait être aussi le marqueur de mauvaises habitudes alimentaires et d’une mauvaise hygiène de vie.
Et vous, avez-vous pris ce matin votre petit déjeuner ?
(*) Association of Skipping Breakfast with Cardiovascular and All-Cause Mortality. Rong S et al. J Am Coll Cardiology 2019 ; 73 : 2025-32
Démonstration de la prise en charge d’un arrêt cardiaque lors de la remise de DAE en 2018
Le jeudi 17 octobre 2019 à 19 h à la salle Carbonnar aura lieu, dans le cadre du projet Défidéo et de la semaine européenne de l’arrêt cardiaque, la remise officielle de 8 nouveaux Défibrillateurs Automatique Externes (DAE).
Ces appareils seront installés dans les 7 communes suivantes :
Anould,
Etival,
La Bourgonce,
La Voivre,
Les Rouges Eaux,
Raon l’Etape (2 DAE)
Senones.
Cela portera à 101 le nombre de défibrillateurs en accès public 24 h sur 24 sur le territoire de la Déodatie.
Rappelons que le projet Défidéo a été lancé en 2007 par le club Cœur et Santé de Saint-Dié à la suite du décret du 4 mai 2007 qui permet à chacun d’utiliser un DAE.
Défidéo qui est porté par le Pays de la Déodatie depuis début 2008 a vu l’installation des premiers DAE en 2010.
Le « peloton » sur la voie verte entre Anould et Fraize
La traditionnelle sortie à vélo du jeudi matin le 3 octobre ne présentait pas de difficulté particulière.
Elle a en effet conduit une quinzaine de cyclistes du club à Fraize, d’abord par la rive droite de la Meurthe jusqu’au Souche à Anould puis par la voire verte.
Elle a débuté avec un temps brumeux, mais, à peine arrivé à proximité de Saint-Leonard, le groupe a bénéficié d’un très bel ensoleillement.
Le groupe devant l’office de tourisme de Fraize
La semaine prochaine, les cyclotouristes prendront la direction de la vallée de la Fave. Rendez-vous pour les amateurs à 9 heure sur le parking de Territoire de Marques, rue Alphonse Matter.
Lors de la conférence sur li’infarctus du 24 septembre, il a été question du traitement médicamenteux qui comporte une statine, molécule hypocholestérolémiante.
Nous reprenons sur notre site un article de l’Alliance du Cœur consacré à cette classe de molécules (mis à jour le vendredi 20 septembre 2019).
Malgré les différentes études et recommandations, le traitement par statines fait encore l’objet de fréquentes remises en question très largement relayées par les médias « grand public ». Ces polémiques conduisent des patients à douter voire à arrêter leur traitement.
Cet article vous aide à démêler le vrai du faux.
Ce texte a été élaboré par le « Cercle Cœur et Métabolismes » de la Société Française de Cardiologie.
1- L’INFARCTUS DU MYOCARDE ET L’ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL (AVC) REPRÉSENTENT UN RISQUE DE SANTÉ MAJEUR
VRAI
L’AVC et l’Infarctus restent la première cause de mortalité chez la femme et la deuxième chez l’homme. Les maladies cardiovasculaires sont responsables d’environ 180 000 décès par an et toucheraient plus de 3 millions de personnes en France. Lorsqu’ils ne sont pas mortels, les accidents cardiovasculaires ont souvent des conséquences lourdes au quotidien.
L’infarctus du myocarde est la première cause d’insuffisance cardiaque chronique qui provoque essoufflement, prise de poids, œdèmes et fatigue.
1/3 tiers des personnes ayant eu un infarctus du myocarde fait une dépression.
L’AVC est la première cause de handicap chez l’adulte et la deuxième cause de démence.
2- IL EXISTE DU BON ET DU MAUVAIS CHOLESTÉROL
VRAI
Le bon et le mauvais cholestérol et la formation des plaques d’athérome
Le cholestérol est une particule de graisse apportée pour un tiers par l’alimentation et, pour deux tiers, fabriquée par le foie. Il est indispensable à l’organisme à un taux même très faible pour :
Constituer les membranes des cellules de notre corps,
Développer certaines cellules du fœtus,
Intervenir dans la fabrication de la bile, de la graisse corporelle et dans la synthèse de la vitamine D.
Le cholestérol se déplace dans notre corps via la circulation sanguine, grâce à deux protéines en charge de le transporter :
Les LDL qu’on appelle le « mauvais » cholestérol : son accumulation dans la circulation contribue à la formation de plaques d’athérome qui, en s’accumulant ou en se rompant, peuvent rétrécir ou boucher des artères.
Les HDL qu’on appelle le « bon » cholestérol servent à nettoyer les excès de cholestérol. Leur présence en quantité importante contribuerait à diminuer le niveau de risque. En faible quantité, il s’agit classiquement d’un indicateur du risque cardiovasculaire. Aucune étude n’a cependant prouvé qu’en augmentant le taux de « bon cholestérol » on réduit le risque cardiovasculaire.
3- UN TAUX DE MAUVAIS CHOLESTÉROL IMPORTANT AUGMENTE LE RISQUE DE FAIRE UN ACCIDENT CARDIO-VASCULAIRE
VRAI
L’infarctus est en général lié à la formation, à partir d’une plaque d’athérome, d’un caillot qui v obstruer une artère du cœur
L’excès de cholestérol contribue à la formation de plaques dans la paroi des artères (athérosclérose). Elles peuvent se rompre ou également finir par boucher les vaisseaux, ce qui augmente considérablement le risque d’accidents cardiovasculaires.
Ainsi plus le taux de LDL-cholestérol est élevé, plus le risque d’avoir un accident cardiovasculaire est important. A l’inverse, plus le taux de LDL-cholestérol diminue, plus le risque est bas, même s’il n’est pas très élevé au départ.
Ainsi, un médecin peut être amené à proposer un traitement diminuant un taux de mauvais cholestérol peu élevé parce le risque de faire un infarctus du myocarde est important en raison d’autres facteurs.
4- LE CHOLESTÉROL N’EST PAS LE SEUL FACTEUR DE RISQUE DE DÉVELOPPEMENT DES MALADIES CARDIOVASCULAIRES
VRAI
Il existe d’autres facteurs qui augmentent le risque d’accidents cardiovasculaires :
L’âge, le sexe, ou l’hérédité.
L’hypertension et le diabète sur lesquels on peut intervenir.
Des facteurs modifiables, car liés au mode de vie, en particulier le tabac mais aussi une mauvaise alimentation, l’obésité, le stress, la sédentarité.
La correction d’un seul facteur de risque diminue le risque d’accident cardiovasculaire de 20 à 40% dans les 5 ans.
5- UN TRAITEMENT MÉDICAMENTEUX EST SYSTÉMATIQUE EN CAS DE TAUX ÉLEVÉ DE MAUVAIS CHOLESTÉROL
FAUX
Changer d’hygiène de vie est le premier moyen à utiliser pour faire baisser le taux de LDL-cholestérol élevé pour un patient qui n’a jamais eu d’accident cardiovasculaire (prévention primaire) : la reprise d’une activité physique régulière réduit d’un tiers le risque d’AVC.
Les statines sont proposées seulement lorsque l’augmentation du taux de LDL-cholestérol est liée à une maladie héréditaire ou que les mesures préventives pour faire baisser le taux de LDL-cholestérol sont insuffisantes, au bout de 3 à 6 mois. Elles peuvent être proposées également de manière assez large et selon les recommandations chez les patients diabétiques.
6- DANS CERTAINS CAS, LA DIMINUTION DU TAUX DE LDL-CHOLESTÉROL NE PEUT ÊTRE OBTENUE QU’AVEC DES MÉDICAMENTS
70% des patients à risque cardiovasculaire élevé n’atteignent pas leurs objectifs de baisse de LDL-cholestérol, parce qu’ils ne parviennent pas à modifier leur hygiène de vie ou que ces modifications ne permettent pas de faire baisser suffisamment leur taux de LDL-cholestérol. Dans ces cas-là, ou après un accident cardiovasculaire (prévention secondaire), le traitement médicamenteux s’impose. Les statines ont très largement fait leurs preuves, grâce à un grand nombre d’études.
7- RIEN NE PROUVE QUE LES STATINES SOIENT EFFICACES
FAUX
Les statines sont utilisées depuis plus de trente ans, ce qui permet d’avoir un recul important sur leur efficacité, d’autant que ce sont les médicaments qui ont fait l’objet du plus grand nombre d’études dans le monde : leurs effets ont été étudiés sur plus de 300 000 patients et sur des périodes de 5 à 10 ans.
8- LES STATINES PEUVENT AVOIR DES EFFETS INDÉSIRABLES OU SECONDAIRES
Comme tous médicaments, les traitements à base de statines peuvent avoir des effets indésirables ou secondaires, principalement des douleurs musculaires qui concernent, à des degrés divers, 10 à 25% des patients.
Les patients qui sont à la limite du diabète doivent également être surveillés. Les statines à fortes doses peuvent augmenter très légèrement le taux de sucre dans le sang et donc, chez ces patients, elles peuvent accélérer le passage vers un diabète.
Certains patients ressentent d’autres effets secondaires, mais les études tendent à montrer que les causes sont, le plus souvent, autres. Dans tous les cas, quand un patient ressent des effets secondaires après avoir commencé à prendre son traitement, il est important qu’il en informe son médecin ou son cardiologue afin d’identifier leurs causes et d’y remédier, qu’ils soient liés ou non à la prise de statines.
9- IL EXISTE D’AUTRES MÉDICAMENTS QUE LES STATINES POUR PRÉVENIR LES ACCIDENTS CARDIOVASCULAIRES
VRAI
Les mesures préventives après un accident cardiovasculaire reposent sur une stratégie globale incluant d’autres traitements que les statines, en fonction de chaque patient. Leur rôle, tout aussi important est différent : les antithrombotiques (antiagrégants plaquettaires, comme l’aspirine par exemple, ou, dans certains cas, anticoagulants) diminuent le risque de formation de caillots capables de boucher les artères. Il est souvent nécessaire de prescrire un traitement pour l’hypertension artérielle.
10- LES STATINES SONT PRESCRITES SYSTÉMATIQUEMENT APRÈS UN PREMIER INFARCTUS DU MYOCARDE OU APRÈS UN AVC
VRAI
Les statines sont indispensables lorsque le patient a déjà eu un accident cardiovasculaire (prévention secondaire) puisque l’on a démontré qu’elles diminuent le risque de récidive dans tous les cas, quel que soit le taux de cholestérol, c’est-à-dire même si le mauvais cholestérol ou LDL-cholestérol a pu antérieurement être jugé comme n’étant pas élevé.
11- LES TRAITEMENTS À BASE DE STATINES SONT TOUS LES MÊMES
FAUX
Toutes les statines ne sont pas équivalentes. La décision de proposer des statines se fait au cas par cas. Le choix de la statine et de sa dose est adapté à chaque patient par le médecin, en fonction de nombreux facteurs :
Le niveau du taux de mauvais cholestérol,
Le profil du patient (âge, sexe, antécédents cardiaques…),
Le nombre de facteurs de risques (tabac, surpoids, hypertension…),
Les autres traitements,
L’efficacité du traitement chez le patient, qui est régulièrement contrôlée,
La présence ou non d’effets secondaires et leur ampleur.
12- EN CAS D’EFFETS INDÉSIRABLES OU SECONDAIRES, LA SEULE SOLUTION EST D’ARRÊTER LES STATINES
FAUX
Lorsque la prise de statines génère des effets indésirables, le médecin peut proposer différentes solutions en fonction de leur nature et de leur intensité : modification de la dose de statines, changement de molécule, essai d’autres médicaments, proposition d’un traitement complémentaire pour réduire les effets secondaires.
13- IL Y A UN RISQUE À ARRÊTER UN TRAITEMENT À BASE DE STATINES SANS AVIS MÉDICAL
VRAI
Il est essentiel de prendre régulièrement son traitement à la dose prescrite par le médecin. L’arrêt des statines conduit à une augmentation de 45% de la mortalité et de 15% des accidents cardiovasculaires, comparativement aux patients qui suivent strictement leur traitement. Un patient ne doit pas interrompre son traitement sans en avoir discuté avec son médecin ou son cardiologue.
14- LES STATINES COÛTENT CHER À LA SÉCURITÉ SOCIALE ET AUX PATIENT
FAUX
Les statines commercialisées en France sont toutes disponibles sous forme de médicaments génériques pour un coût moyen autour de 20 centimes/jour, ce qui est un coût faible par rapport à la plupart des autres médicaments.
Dossier médical de réadaptation cardiaque
En résumé
1.VRAI > L’infarctus du myocarde et l’accident vasculaire cérébral (AVC) représentent un risque de santé majeur.
2. VRAI > Il existe du bon et du mauvais cholestérol.
3. VRAI > Un taux de mauvais cholestérol important augmente le risque de faire un accident cardio-vasculaire.
4. VRAI > Le cholestérol n’est pas le seul facteur de risque de développement des maladies cardiovasculaires.
5. FAUX > Un traitement médicamenteux est systématique en cas de taux élevé de mauvais cholestérol.
6. VRAI > Dans certains cas, la diminution du taux de LDL-cholestérol ne peut être obtenue qu’avec des médicaments.
7. FAUX > Rien ne prouve que les statines soient efficaces.
8. VRAI > Les statines peuvent avoir des effets indésirables ou secondaires.
9. VRAI > Il existe d’autres médicaments que les statines pour prévenir les accidents cardiovasculaires.
10. VRAI > Les statines sont prescrites systématiquement après un premier infarctus du myocarde ou après un AVC.
11. FAUX > Les traitements à base de statines sont tous les mêmes.
12. FAUX > En cas d’effets indésirables ou secondaires, la seule solution est d’arrêter les statines.
13. VRAI > Il y a un risque à arrêter un traitement à base de statines sans avis médical.
14. FAUX > Les statines coûtent cher à la Sécurité Sociale et aux patients.