Installée dans le cadre des manifestations mises en place à l’occasion de la Journée des droits des Femmes qui a lieu le 8 mars, l’exposition « Femmes de cœur, cœurs de femmes » sera visible dans différents lieux de la Déodatie du 25 février au 30 juin.
L’exposition
Oeuvre du photographe Loïc Trujillo et fruit d’un travail de 3 mois au sein du au CHU de Lille, elle a été installée à Lille dans le parc Jean-Baptiste Lebas à l’occasion de la Journée internationale des droits des Femmes en mars 2018.
Elle sera d’abord accueillie au Centre Social Saint-Roch puis à KAFE-Maison de la prévention et de l’éducation à la santé et ensuite dans l’ensemble des hôpitaux de la Communauté d’établissements de la Déodatie, en commençant par l’hôpital Saint-Charles.
Elle a été réalisée pour la Fédération Française de Cardiologie grâce au soutien de nombreux mécènes. La mise en place de l’exposition en Déodatie, s’est faite grâce au soutien de l’Association de Cardiologie de Lorraine.
Elle veut sensibiliser le public, pas seulement féminin, sur les inégalités hommes-femmes dans le domaine des maladies cardiovasculaires.
Loïc Trujillo
« Impliqué depuis plus de 15 ans, il pose un regard plein d’empathie sur les hommes, leur vie et leur environnement. Si l’Homme est au centre de sa photographie, il le montre dans son infime grandeur.
On lui doit des reportages au long cours, en France et à l’étranger, consacrés par de nombreuses expositions, publications et récompenses.
Sensibles et inspirés, ils ont notamment pour thèmes le détachement, l’homme au travail, les enfants autistes, les artisans de la crémation en Inde, la vie en transit d’enfants réfugiés tibétains…
Qu’elles s’inscrivent dans des travaux de commande ou personnels, les photographies de Loïc Trujillo rechignent au « tue-tête » ; aux hurlements propres à ameuter les voyeurs avides, elles préfèrent le murmure qui porte loin et habite longtemps le spectateur.
Loïc Trujillo réalise actuellement un portrait intime de la Birmanie et des Birmans. En parallèle, il fixe la disparition d’un mode de vie traditionnel dans un hameau français, reportage au cours duquel le paysage devient doué d’états d’âme. » (Willy Persello)
Le calendrier des premiers sites
Lundi 25 février – vendredi 8 mars : Centre Social Saint-Roch,
Lundi 11 mars – vendredi 22 mars : KAFE-Maison de la prévention et de l’éducation à la santé,
Samedi 23 mars – Dimanche 14 avril : Hôpital Saint-Charles.
Parking du col du Collet, altitude 1100 mètres, 10 h, les 26 inscrits à cette journée sortie raquettes sont bien au rendez-vous.
Ce mercredi matin, toutes les conditions sont réunies pour faire une randonnée exceptionnelle. De la neige à profusion, un ciel bleu azur et une absence de vent fort appréciée.
Novices ou confirmés on s’active pour s’équiper
Après avoir réglé les raquettes, ajusté les guêtres et la tenue vestimentaire, Gilbert Muller, notre accompagnateur nous rappelle les consignes de sécurité d’usage et nous donne quelques informations sur le profil du circuit de cette randonnée.
Le but de la matinée est de se rendre sur le grand replat de “chaumes“ les Trois Fours par le Col de la Schlucht et le sentier de Crête pour la pause déjeuner à l’Auberge.
L’un derrière l’autre en suivant attentivement le sentier de crête
Le rythme est régulier, le soleil illumine notre progression. Nous prenons de la hauteur et atteignons peu avant midi, avec un plaisir partagé les Trois Fours.
Les Trois Fours, altitude 1250 mètres, des raquetteurs radieux au milieu d’une nature féérique
Après un repas convivial, chausser à nouveau les raquettes demande un certain effort, le soleil incitant plutôt au farniente.
C’est reparti pour le retour
Pour finaliser cette randonnée de 10,5 km, c’est par le Krapenfels avec vue sur le Frankenthal, le Jardin d’Altitude et le chemin des mulets que nous regagnons notre point de départ.
Un peu de hors-piste en fin de parcours
Une belle journée que chacun a hâte de renouveler avec une météo aussi clémente ……
Prochaine sortie raquettes le mercredi 27 février.
Si l’enneigement est insuffisant, il sera prévu en remplacement une randonnée sur les hauts.
Lieux de regroupement, horaires et restauration inchangés.
Le BSP confirme qu’en raison « d’habitudes tabagiques fréquentes, le Grand Est présente une incidence et une mortalité élevées pour les trois pathologies les plus associées au tabac » : cancer du poumon, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et cardiopathies ischémiques (infarctus).
Au sein de la région Grand Est, il existe de fortes disparités entre les départements : la Moselle, la Meurthe-et-Moselle et les Ardennes présentent les situations les plus préoccupantes. Les Vosges se situent dans la deuxième moitié du tableau, parmi les départements les moins touchés.
Le cancer du poumon a une incidence et une mortalité élevées dans le Grand Est
Incidence du cancer du poumon
C’est le cancer le plus fréquent dans le monde et la consommation de tabac en est le principal facteur de risque. Il est trois fois plus fréquent chez les hommes que chez les femmes avec taux d’incidence annuelle brute 93,2 pour 100 000 personnes-années contre 33,7 chez les femmes. Après standardisation sur la population mondiale, il est de 17,9 pour 100 000 personnes-années pour les femmes et 51,8 pour les hommes.
Selon ce critère, chez les femmes et avec une incidence de 18,8 pour 100 000 personnes-années, le Grand Est derrière la Corse (26,0), l’Occitanie (19,9) et l’Île-de-France (19,4). Chez les hommes, le Grand Est (57,7) est deuxième derrière les Hauts-de-France (63,3).
Taux régionaux d’incidence du cancer du poumon selon le sexe en 2007-2016
Au sein de la région Grand Est, les Vosges font partie des départements les moins touchés, mais se situent cependant au dessus de la moyenne nationale, seuls les départements alsaciens ayant des taux inférieurs à cette moyenne.
Taux départementaux d’incidence du cancer du poumon selon le sexe en 2007-2016 dans le Grand Est.
Mortalité par cancer du poumon
En ce qui concerne la mortalité par cancer du poumon le Grand Est est la deuxième région pour les femmes (derrière la Corse) comme pour les hommes (derrière les Hauts-de-France).
Taux régionaux de mortalité par cancer du poumon selon le sexe en 2007-2014
Cependant, au niveau de notre région les Vosges font partie des départements les moins touchés (pour les femmes, sixième « place » dans l’ordre décroissant et pour les hommes huitième place).
Taux départementaux de mortalité par cancer du poumon selon le sexe en 2007-2014
La broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) est source d’hospitalisations nombreuses et d’une mortalité importante
C’est une maladie respiratoire chronique, attribuable au tabagisme dans plus de 80 % des cas et qui reste sous-diagnostiquée et méconnue dans la population française.
Les hospitalisations pour exacerbations de BPCO
Les exacerbations de BPCO sont un facteur de mauvais pronostic sur l’évolution de la maladie. Les plus sévères nécessitent une hospitalisation. Une partie de ces hospitalisations pourraient être évitées grâce à une prise en charge optimale dès le début des signes d’aggravation.
En 2015, tous sexes confondus, le taux d’hospitalisation est de 22,1 hospitalisations pour 10 000 habitants âgés de 25 ans ou plus. Le Grand Est (28,3) se situe derrière les Hauts-de-France (31,7) et La Réunion (29,7).
Taux régionaux d’hospitalisation pour exacerbation de BPCO en 2015
La mortalité par BPCO
La BPCO est globalement sous-diagnostiquée et sous-déclarée sur les certificats de décès.
En 2013-2014, tous sexes confondus, le taux annuel de mortalité par BPCO s’élevait pour la France à 29,0 décès pour 100 000 habitants âgés de 45 ans ou plus : 46,6 à La Réunion, 37,7 dans les Hauts-de-France et 36,7 dans le Grand Est.
Taux régionaux de mortalité par BPCO en 2013-2014
La mortalité liée aux principales pathologies associées au tabagisme est très importante dans le Grand Est
L’estimation peut se faire à partir du nombre des décès pour les principales pathologies pour lesquelles le tabac est un facteur de risque important, même si d’autres facteurs peuvent intervenir.
Entre 2013 et 2015, le taux de mortalité par cancer du poumon, cardiopathie ischémique (dont l’infarctus) et BPCO s’élevait pour la France à 124,0 pour 100 000 habitants. Il était 3 fois plus élevé chez les hommes que chez les femmes (200,5 pour 100 000 habitants contre 69,3).
Chez les femmes, le taux standardisé de mortalité variait de 33,2 pour 100 00 habitants à la Martinique à 81,0 dans le Grand Est.
Chez les hommes, le taux standardisé de mortalité était de 237,2 dans le Grand Est, deuxième région la plus touchée derrière les Hauts-de-France (253,5).
Au sein de la région Grand Est, le département des Vosges a un taux qui se situe à 79,6 pour les femmes et à 231,5 pour les hommes.
Taux départementaux de mortalité par cancer du poumon, BPCO et cardiopathie ischémique
Source : tous les tableaux et cartes de cet article sont issus du Bulletin de Santé Publique du Grand Est paru fin janvier 2019.
Le Club Cœur et Santé organisera le dimanche 7 avril son édition 2019 du Parcours du Cœur au départ de la Maison de Quartier de La Bolle, située 18 chemin de Grandrupt.
La journée sera patronnée par le champion de VTT Rémi Thirion.
L’édition 2019 est parrainée par le champion de VTT Rémi Thirion
Cette année, deux types d’activités seront proposés : la marche et le vélo (VTT et vélo sur route).
Il y aura deux circuits de marche avec départ libre :
un petit circuit (7 km) avec départ entre 8 h et 15 h,
un grand circuit (11,5 km) avec départ entre 8 h et 13 h
Pour les cyclistes, deux circuits seront proposé avec des départs groupés :
à 9 heures 30 : circuit VTT d’une quinzaine de kilomètres dans le massif du Kemberg en compagnie du champion de VTT Rémi Thirion, réservé aux VTTites confirmés,
à 10 heures 30 : circuit sur route de 18 kilomètres en direction de Taintrux, sans difficulté, ouverte à tout type de vélo, compris ceux à assistance électrique.
Rappelons que toutes ces activités se font sans aucun esprit de compétition.
Au départ chacun peut faire contrôler
sa glycémie par un médecin ou une infirmière du service de diabétologie de l’hôpital,
et sa tension artérielle par un médecin ou une infirmière du Club Cœur et Santé.
Les participants trouveront aussi des informations sur les maladies cardiovasculaires et leur prévention. Les brochures de la Fédération Française de Cardiologie seront disponibles gratuitement, en particulier « Les As du cœur » pour prendre soin de son cœur en famille au quotidien et les cartes de poche « Arrêt cardiaque ».
Il y aura également des démonstrations sur les gestes qui sauvent et sur l’utilisation du défibrillateur.
Enfin, sera présentée l’exposition réalisée en 2018 à l’occasion des 40 ans du Club Cœur et Santé.
Contrôle de la glycémie et de la tension artérielle lors du Parcours du Cœur 2018
Participation : 2 € au profit de la Fédération Française de Cardiologie.
Plusieurs postes de contrôle seront situés sur les parcours où les participants trouveront de l’eau, mais il est recommandé à chacun de prendre une bouteille d’eau afin de s’hydrater régulièrement durant la marche ou la pratique du vélo.
La cigarette, ça brise le cœur ! Un message de Santé Canada
Les dernières données du tabagisme des 18 à 75 ans, datant de 2017, ont publiées le 29 janvier 2019 dans le Bulletin de Santé Public Grand Est (BSP). Elles montrent que la population de notre région figure parmi celles où l’on fume le plus.
On trouve aussi dans le BSP des informations sur les jeunes de 17 ans et les femmes enceintes ainsi que des statistiques sur les principales maladies liées au tabac : cancer du poumon, bronchite chronique et maladies cardiovasculaires.
Dans ce premier article nous présentons les données globales sur le tabagisme.
La région Grand est l’une de celles ont l’on fume le plus
En 2017, notre région comptait 1,2 millions de fumeurs quotidiens âgés de 18 à 75 ans (soit 30,1 % de fumeurs quotidiens). C’est un peu moins qu’en Provence-Alpes-Côte d’Azur (32,2 %), Hauts-de-France (30,5 %) et Occitanie (30,3 %), mais nettement plus qu’en Île de France (21,3%).
Carte du tabagisme en France selon les régions
Près des trois-quarts (74,7 %) des fumeurs quotidiens du Grand Est consomment plus de 10 cigarettes/jour), contre les deux-tiers au niveau national (66,8 %).
Conséquence de ces habitudes, le Grand Est présente une incidence et une mortalité élevées pour le cancer du poumon, la broncho-pneumopathie chronique obstructive et les cardiopathies ischémiques) avec de fortes disparités entre les départements ; la Moselle, la Meurthe-et-Moselle et les Ardennes présentant les situations les plus préoccupantes.
Evolution entre 2000 et 2017
Les variations ne sont pas les mêmes chez les hommes et chez les femmes. Pour ces dernières, après une baisse nette en 2016 (6,5 % de fumeuses en moins) on constate une hausse de 5,2 % en 2017 avec le même pourcentage de fumeuses qu’en 2000. Chez les hommes. les tendances sont inverses ces dernières années, mais on constat une baisse des fumeurs depuis 2000.
Le tabagisme des jeunes de 17 ans dans le Grand Est : des données encourageantes à première vue
En 2017, on comptait 25,1 % de fumeurs chez les jeunes Français de 17 ans avec des taux variant de 18,9 % en île-de-France à 31,0 % en Bretagne. Le chiffre pour le Grand Est est de 23,5 %.
Pourcentage de fumeurs quotidiens à 17 ans
Mais les jeunes de 17 ans du Grand Est sont de « gros » fumeurs
Chez les jeunes de 17 ans, l’usage intensif du tabac (au moins 10 cigarettes par jour durant les 30 derniers jours) variait de 3,3 % à 11,0 % selon les régions (figure 4) et la moyenne nationale était de 5,2 %. La prévalence la plus faible était enregistrée en Île-de-France (3,3 %). A l’inverse, les régions Corse (11,0 %), Normandie (7,5 %), Hauts-de-France (6,7 %), Bourgogne-Franche-Comté (6,4 %) et Grand Est (6,3 %) se distinguaient par une prévalence statistiquement plus élevée par
rapport aux autres régions. La prévalence de l’usage intensif du tabac à 17 ans était significativement plus faible aux Antilles et en Guyane, tandis que La Réunion (5,0 %) affichait une prévalence similaire à celle de la France métropolitaine.
Pourcentage de gros fumeurs quotidiens à 17 ans
La quantité de tabac fumé est plus importante dans le notre région
En 2017, les fumeurs quotidiens fumaient en moyenne 15,3 cigarettes (ou équivalent) par jour, les hommes (15,5) comme les femmes (15,0).
Parmi les fumeurs quotidiens de la région Grand Est, 74,7 % fumaient de façon intensive (plus de 10 cigarettes par jour), (74,8 % des hommes et 74,5 % des femmes), proportion supérieure à celle de la France métropolitaine qui était de 66,8 %.
La cigarette électronique
Un Français sur trois a déjà expérimenté la cigarette électronique (36,0 % en 2017 pour la région Grand Est) avec un taux de 39,1 % chez les hommes et 33 % chez les femmes.
Le vapotage concerne plus les fumeurs quotidiens ou occasionnels (75,9 %) que les ex-fumeurs et décroit avec l’âge. Les utilisateurs quotidiens sont plus nombreux chez les 31-45 ans (3,0 %), suivis des 46-60 ans (2,5 %) et des 18-30 ans (2,4 %)
Il est nettement moins fréquent chez les personnes n’ayant jamais fumé de tabac que parmi les fumeurs et ex-fumeurs (7% sur l’ensemble de la France métropolitaine), et le vapotage quotidien ne concerne que 0,1 % d’entre elles.
Expérimentation et usage quotidien de la cigarette électronique
Les tentatives d’arrêt
Un majorité de fumeurs quotidiens ont envie d’arrêter de fumer. Pour le Grand Est le chiffre est de 55,3 %, dont 25,3 % avec un projet d’arrêt dans les 6 mois. Cela concerne davantage les femmes que les hommes : 60,5 % contre 50,8 % et surtout les 46-60 ans (68,4 % chez les femmes et 59,9 % chez les hommes).
Parmi les fumeurs quotidiens, 25,1 % avaient fait une tentative d’arrêt d’au moins une semaine au cours des 12 derniers mois avec un pourcentage comparable dans les deux sexes : 25,8 % parmi les hommes et 24,2 % parmi les femmes. Les 18-30 ans étaient les plus nombreux à avoir fait une tentative d’arrêt du tabagisme.
Tentatives d’arrêt dans l’année et envie d’arrêter de fumer
La France doit mieux faire
Comme le soulignent dans le BSP Grand Est le Directeur de l’Agence Régionale de Santé Grand Est, Christophe Lannelongue, et le Président de Grand Est Sans Tabac, le Pr Yves Martinet, « des pays comme le Royaume Uni et la Norvège, ont montré qu’il était possible d’éviter les maladies et les morts liées au tabac comme l’ont fait d’autres pays tels le Royaume-Uni ou la Norvège. »
« L’Agence régionale de santé (ARS) Grand Est, dans son Programme Régional de Lutte contre le Tabac (PRLT), a inscrit la lutte contre le tabagisme comme une de ses grandes priorités en retenant trois axes.
Le premier, intitulé « protéger les jeunes et éviter l’entrée dans le tabac », repose sur le développement des compétences psycho-sociales associé à des mesures de réduction de l’offre et de dénormalisation de la consommation de tabac.
Le second axe vise à aider les fumeurs à arrêter de fumer, ce qui est le souhait de deux fumeurs sur trois. Face à une des drogues les plus dures sur les marchés des produits licites et illicites, il est possible d’aider les fumeurs à franchir le pas en développant leur motivation, collectivement ou individuellement. Ceci nécessite l’implication active des différents professionnels de santé et donc une formation rigoureuse (initiale et continue) afin que la prise en charge des fumeurs devienne systématique, à chaque consultation (quel qu’en soit le motif), et à chaque hospitalisation.
Enfin, le troisième et dernier axe qui consiste à créer un environnement favorable, vise à la dénormalisation du tabac. Il convient de casser l’image encore positive de la consommation de tabac dans la société française en démontrant que le tabac n’est pas un produit banal puisque sa consommation tue ses usagers. Parallèlement, il est souhaitable d’étendre les lieux non-fumeurs, par exemple, aux universités, mairies, ARS, parcs publics (*), lieux de pratique d’activité physique…, notamment dans le cadre des contrats locaux de santé. »
(*) : Le conseil municipal de Strasbourg qui avait a voté en 2014 l’interdiction de fumer dans ses aires de jeux, l’a étendue le 24 juin 2018 à tous ses espaces verts avec mise en application dès le 1er juillet. Un exemple à suivre.