Archive - novembre 2016

Marche du 26 novembre sur les hauts de Saint-Dié

Photo des marcheursAu départ du Col des Raids de Robache, entre Saint-Dié et Saint-Jean d’Ormont, cette marche de 6,5 km a conduit une trentaine de marcheurs  vers le « Sapin pisse dru », puis au triangle des  » arbres remarquables » et au Fort St-Jean, un blockhaus datant de la guerre de 1914-1918 construit non loin du Col des Raids.

Photo du sapin pisse dru

Le sapin pisse dru

Photo du Fort Saint-Jean

Le Fort Saint-Jean

Suite des 25èmes journées de formation aux gestes qui sauvent

Photo d'un groupe

La formation d’une classe entière avec les mannequins Mini Anne

Les 25èmes journées de formation aux gestes qui sauvent se sont achevées le vendredi 25 novembre.

Durant ces deux journées, les bénévoles des associations de formation et du club Cœur et Santé et les Sapeurs Pompiers accompagnés de deux JSP (Jeunes Sapeurs Pompiers) auront accueilli 440 élèves et 50 accompagnateurs (enseignants et parents).

Photo d'un groupe

Formation « classique »

L’heure est maintenant au bilan afin de préparer les journées de novembre 2017. La nouvelle organisation mise en place cette année sera reconduite avec quelques améliorations et le Club Cœur et Santé espère ouvrir cette formation à davantage d’écoles.

Photo des bénévoles

Une partie des bénévoles

Arrêt cardiaque : la formation tout public du jeudi 24 novembre

Photo des participants

Le public attentif aux explications du cardiologue

Organisée parallèlement à celle des scolaires, cette formation a réuni une quarantaine de personnes de tous âges à l’Espace François Mitterrand le jeudi 24 novembre en début de soirée.

La soirée était divisée en deux parties. Lors de la première, après avoir rappelé le fonctionnement du cœur, le Dr Jean-Louis Bourdon, cardiologue du Club, a expliqué comment reconnaître les deux signes qui permettent à tout un chacun de diagnostiquer un arrêt cardiaque chez un adulte, la perte de conscience et l’arrêt respiratoire, ainsi que les deux mécanismes de l’arrêt cardiaque, l’asystolie (arrêt total de son activité électrique survenant dans 20 % des cas) et la fibrillation ventriculaire (activité électrique très rapide et anarchique observée dans 80% et accessible à la défibrillation).

Il a indiqué la grande fréquence de l’arrêt cardiaque (50 000 par en en France, soit près d’un cas pour 1000 habitants), survenant le plus souvent au domicile des personnes et qui conduit, hélas, le plus souvent au décès en l’absence d’une prise en charge adaptée par les témoins. Il a enfin expliqué les 3 gestes à mettre en oeuvre avant l’intervention des secours professionnalisés : appeler les secours (15, 18 ou 112), pratiquer le massage cardiaque et utiliser un défibrillateur, s’il y en a un de rapidement disponible. 75 de ces appareils accessibles au public 24 heures sur 24 ont été installés ces dernières années par les communes et le Pays de la Déodatie dans le cadre du projet Défidéo, initié en 2007 par le Club Cœur et Santé. Mais il reste encore beaucoup à faire.

Photo du public

La formation pratique

En deuxième partie, tous les participants ont appris à pratiquer ces trois gestes qui sauvent. Ils sont dès à présent capables de constituer le premier maillon de la chaîne de l’urgence en cas d’arrêt cardiaque.

Enfin, chacun a été invité à élargir ses connaissances et compétences en acquérant auprès d’un organisme de formation le PSC1 (« diplôme de secourisme »).

Les 25èmes journées de formation aux gestes qui sauvent

Photo d'un groupe d'élèves arrivant à l'Espace François MitterrandCes 25èmes  journées, organisées en partenariat avec l’Inspection de l’Education Nationale de Saint-Dié et avec le soutien de la ville et du Pays de la Déodatie, concernent près de 450 élèves de Cours Moyen et se déroulent à l’Espace François Mitterrand.

La formation porte sur les trois gestes qui permettent de sauver une personne victime d’un arrêt cardiaque (personne inconsciente et qui ne respire plus) : appeler, masser, défibriller. Est également enseignée la mise en PLS (Position Latérale de Sécurité) d’une personne inconsciente mais qui n’est pas en arrêt respiratoire.

Photo d'une partie des bénévoles

Une partie des bénévoles

L’encadrement est assuré par des sapeurs-pompiers, des moniteurs bénévoles de la Croix Rouge, de la Fédération Française de Sauvetage et Secourisme, de la Protection Civile et de l’Ufolep ainsi que par des membres du Club Cœur et Santé (infirmières et cardiologue) avec la participation d’autres membres du club. Ce qui représente près de 40 bénévoles pour les deux journées.

La formation, qui a commencé le jeudi 24 novembre, se poursuit le vendredi 24.

Lors de cette journée, les participants ont reçu la visite d’Anne-Françoise Fernandes, la déléguée régionale de l’Association de Cardiologie de Lorraine.

Photo de la déléguée régionale de l'Association Cardiologie de Lorraine et la président du Club Coeur et Santé de Saint-Dié accompagnées de deux bénévoles du club

La déléguée régionale de l’Association Cardiologie de Lorraine et la présidente du Club Cœur et Santé de Saint-Dié accompagnées de deux bénévoles

Les Clubs Cœur et Santé réunis à Paris

Photo de la salle

Plus de 300 représentants des 220 clubs et des 26 associations régionales

Le samedi 19 novembre, la Fédération Française de Cardiologie organisait sa traditionnelle Journée à l’intention des Associations régionales et Clubs Cœur et Santé. Plus de 300 personnes, animateurs des clubs, cardiologues, présidents et délégués régionaux, étaient présentes à la Maison de la Chimie pour cette journée d’information et d’échanges.

La délégation Lorraine comportait 17 personnes, dont des représentants du club de Saint-Dié et de ses voisins d’Épinal, Lunéville et Plombières.

Les présentations portaient sur la vie de la FFC et ses actions : communication, Parcours du Cœur, recherche médicale, Semaine du Cœur, Gestes d’urgence et vie des associations et des clubs, avec à chaque fois des échanges fructueux avec la salle permettant de faire remonter des expériences ou de répondre à des questionnements.

Une conférence a porté sur l’activité physique chez les jeunes, dont la baisse est source d’inquiétude pour l’avenir puisque l’on a constaté une réduction de 25 % de leur capacité. D’où l’importance de campagnes de sensibilisation non seulement auprès des jeunes, en particulier par l’intermédiaire des Parcours du Cœur Scolaires, mais aussi de leurs parents qui, pour la majorité d’entre eux, ne sont pas conscients de ce problème d’après une enquête dont les résultats, non encore publiés, sont connus depuis le 18 novembre.

Deux interventions ont porté sur les finances de la FFC qui sont saines et vont permettre le lancement de nouvelles actions. Les ressources proviennent quasi exclusivement des dons et legs. Cela a été l’occasion de remercier les nombreux donateurs qui par leur générosité permettent à la FFC de remplir ses misions sociales.

Enfin, plusieurs membres de chacune des 22 associations régionales ont été mis à l’honneur. Pour la Lorraine, ce sont messieurs Baumann de Freyming-Merlebach, Gilbert Rama et Raymond Mathis de Mondelange.