Archive - septembre 2024

La Journée Mondiale du Cœur le 29 septembre

L’infarctus du myocarde est l’une des principales causes d’arrêt cardiaque

En ce 29 septembre, dernier jour de la Semaine du Coeur de la FFC, c’est la Journée Mondiale du Cœur.

Célébrée chaque année, elle a pour objet de sensibiliser le public sur les maladies cardiovasculaires qui sont la première cause de mortalité dans le monde.

Comme l’indique le Ministère de la Santé, en France elle sont aussi la première cause de décès chez les femmes et la seconde chez les hommes. Elles sont responsables chaque année de plus de 143 000 décès et plus de 350 000 hospitalisations.

Les maladies cardiovasculaires chez la femme en 6 chiffres (source : Efficience santé au travail)

Or on peut prévenir de nombreuses maladies d’origine cardio-vasculaire.

Chacun peut agir pour de meilleures habitudes de vie :

  • arrêter le tabac,
  • adopter une alimentation équilibrée,
  • maintenir une activité physique régulière,
  • réduire les comportements sédentaires,
  • réduire sa consommation d’alcool,
  • agir sur le stress,
  • réduire un surpoids.

Avec les professionnels de santé, il s’agit d’évaluer le risque et réduire les facteurs cliniques tels que l’hypertension artérielle, le diabète de type 2, l’hypercholestérolémie, l’obésité ou certains troubles du rythme cardiaque.

L’amélioration des habitudes de vie, et les traitements médicamenteux si nécessaires, se complètent pour réduire un risque souvent multiple.

Manger, bouger

Alimentation, activité physique, tabagisme : des actions concrètes du plan interministériel Priorité Prévention pour permettre à chacun d’agir sur sa santé.

Agir sur son alimentation en se guidant sur la qualité nutritionnelle des aliments de tous les jours. Le Nutriscore, facilement identifiable et interprétable, est aujourd’hui apposé sur plus de 25% des aliments retrouvés en magasins. On peut aussi consulter et suivre les recommandations nutritionnelles, récemment mises à jour, qui sont accessibles sur le site www.mangerbouger.fr, ainsi que les repères de consommation d’alcool « maximum 2 verres par jour et pas tous les jours ».

Arrêter le tabagisme est bénéfique quelle que soit sa consommation. Un ancien fumeur verra son risque d’infarctus du myocarde se réduire dès les premiers jours et se rapprocher de celui d’un non-fumeur après 5 ans de cessation. Le nombre de fumeurs quotidiens a baissé de 1,6 million entre 2016 et 2018, grâce au remboursement des traitements de substitution nicotinique, aux actions des professionnels de santé et à l’opération nationale #MoisSansTabac, Mais un adulte sur 4 (parmi les 18-75 ans) est encore fumeur quotidien, et le renouvellement de l’opération nationale #MoisSansTabac viendra les soutenir s’ils désirent s’arrêter en 2019.

Mois sans tabac, c’est en novembre

Maintenir une activité physique régulière (au moins 30 minutes d’activité physique par jour) réduit les risques de maladies cardio-vasculaires. Mais elle diminue aussi d’environ 30% les risques de décès ou de ré-hospitalisation chez les personnes ayant souffert d’un syndrome coronarien aigu (crise cardiaque). Pour les patients atteints de maladies chroniques, dont les maladies cardiovasculaires et le diabète, l’objectif est de développer l’activité physique adaptée et de renforcer sa prescription par les médecins.

1 vie = 3 gestes : en cas d’arrêt cardique : appeler les secours, pratiquer un massage cardique et utiliser un défibrillateur

Se former aux gestes de premier secours car prévenir c’est aussi porter secours. En France, 40 000 morts subites surviennent chaque année. Le taux de survie est inférieur à 10%, mais la chance de survie est beaucoup plus élevée si un massage cardiaque a été pratiqué par un témoin.

En cas de survenue d’un accident cardio-neurovasculaire, chaque minute compte. Toute personne témoin d’un arrêt cardiaque soudain doit oser les gestes qui sauvent : APPELER, MASSER, DEFIBRILLER. Généraliser les formations, tout au long de la vie est une des mesures phares du plan priorité prévention. L’accès au défibrillateur automatisé externe (DAE) est renforcé par l’obligation des établissements recevant du public de s’équiper, et la mobilisation des pouvoirs publics et des partenaires pour assurer l’accessibilité, la géolocalisation et un bon état de fonctionnement des DAE. »

Source : Ministère de la Santé  : https://sante.gouv.fr/archives/archives-presse/archives-communiques-de-presse/article/journee-mondiale-du-coeur

Pour en savoir plus :

Journée mondiale du Cœur

L’insuffisance cardiaque, thème de la conférence de la Semaine du Coeur (deuxième partie)

Conférence sur l’insuffisance cardiaque le 24 septembre 2024

Dernière manifestation de la Semaine du Cœur 2024, la conférence sur l’insuffisance cardiaque a eu lieu le mardi 24 septembre à la salle Carbonnar.

Un précédent article a traité des symptômes et du diagnostic. Dans celui-ci il sera question du traitement et de la surveillance.

Le traitement

A la phase aiguë, l’objectif : soulager rapidement le patient.

Traitement symptomatique :

  • furosémide (diurétique intraveineux qui permet élimination de l’eau et du sel,
  • dérivés nitrés injectables (dilatation des vaisseaux),
  • oxygène,
  • ventilation non invasive si besoin.

Boite de Furosémide

Traitement du facteur déclenchant.

Traitement d’un trouble du rythme si nécessaire.

Traitement de l’infection éventuelle.

A la phase chronique

Le traitement est médicamenteux en 1ère intention avec 5 grandes classes de molécules :

  • IEC ou sartan ou association valsartan/sacubitril (ENTRESTO) : assouplit les vaisseaux et  diminue la tension,
  • Bétabloquant : protège des arythmies ventriculaires et de la mort subite,
  • Diurétique de type spironolactone si la fraction d’éjection du ventricule gauche est altérée, surtout après infarctus,
  • Glifozine : médicament antidiabétiques qui ont montré leur efficacité dans l’insuffisance cardiaque (FORXIGA – JARDIANCE),
  • Furosémide par voie orale à dose décroissante.

Certains traitements sont introduits à dose progressivement croissante pour améliorer la tolérance (tension artérielle et fonction rénale) et aboutir à la dose maximale tolérée.

Traitement associé si nécessaire

  • Traitement des troubles du  rythme :
    • médicaments : exemple AMIODARONE.
    • choc électrique externe si nécessaire.
    • ablation par  radio fréquence,
    • implantation d’un stimulateur cardiaque triple chambre ou avec stimulation physiologique de la branche gauche.
    • implantation d’un défibrillateur automatique.
  • Traitement anticoagulant
  • Fer oral ou injectable en cas de carence en fer.
  • Traitements de la maladie causale si nécessaire :
    • implantation de stent coronaire, pontage aorto-coronarien,
    • chirurgie valvulaire avec plastie ou remplacement valvulaire,
    • traitement d’une hyperthyroïdie, d’une anémie …
Les mesures hygiéno-diététiques : INDISPENSABLES

Réduction du sel : 6 g par  jour :

  • se méfier des conserves et des plats préparés, des boissons salées, des soupes du commerce… (surveiller les étiquettes),
  • attention aux huitres et fruits de mer et au saumon fumé,
  • ne pas resaler mais utiliser épices, poivre, jus de citron.

Evitez les sels de régime qui contiennent beaucoup de potassium.

 

Exemples d’aliments riches en sels

Réduction hydrique : 1,5 l par jour

Activité physique, dès que possible, d’intensité progressive.

La prévention des infections

Des vaccins recommandés : grippe, COVID, pneumocoque, coqueluche.

Le traitement de l’insuffisance cardiaque terminale

La greffe cardiaque : mais problème du nombre limité de greffons (411 greffes en 2022), contre-indication nombreuses, nécessité de traitement anti rejet.

Le dispositif Heartmate d’assistance ventriculaire gauche

L’ assistance ventriculaire gauche : « turbine » implantée à la pointe du ventricule gauche qui éjecte le sang dans l’aorte par l’intermédiaire d’un tube  branche au-dessus de la valve aortique. Mais alimentation se fait par une batterie extérieure reliée par un câble, d’où un risque infectieux.

Les autres techniques (cœur artificiel, cellules souches) relèvent encore du domaine de la recherche.

La surveillance

C’est un élément essentiel pour éviter les nouvelles décompensations et nouvelles hospitalisations. Elle est indispensable.

Le but est de dépister précocement une décompensation de manière à intervenir rapidement pour éviter une hospitalisation.

Il faut l’organiser avant  la sortie du  patient.

Elle repose sur une surveillance clinique au domicile avec une transmissions d’alerte au cardiologue traitant (transmission des données par voie électronique le plus souvent) :

  • par  infirmière  libérale : Prado,
  • par  société de télémédecine avec des outils connectés.

Les outils indispensables de surveillance

  • Le pèse-personne
  • le tensiomètre,
  • le stéthoscope,
  • le saturomètre (mesure du « taux » d’oxygène dans le sang).

Outils de surveillance de l’insuffisance cardiaque

Surveillance médicale régulière avec :

  • Bilan biologique : fonction rénale, potassium, Nt Pro BNP …,
  • Electrocardiogramme,
  • Echographie cardiaque,
  • Holter ECG si  besoin  ou autre examen

Nouveauté : place de l’Infirmière de Pratique Avancée (IPA) : infirmière spécialisée qui réalise les consultations en alternance avec le médecin cardiologue.

L’éducation thérapeutique

Associée à la surveillance, elle vise à

  • apprendre les signes d’alerte,
  • comprendre et mettre en œuvre la restriction hydro sodée,
  • connaitre sa maladie,
  • acquérir des notion sur les différents traitements, leurs actions et leur surveillance
  • aider à comprendre qu’il  s’agit d’une maladie chronique qui nécessite une coopération entre le patient et ses soignts.
Les points clés

Maladie fréquente, grave, surtout chez la personne plus âgée.

Traitement efficace mais parfois lourd.

Surveillance médicale et paramédicale indispensable dans les premiers mois qui suivent une hospitalisation.

Maladie chronique qui doit être bien comprise du patient et de son entourage.

Importance des signes d’alerte.

 

Pour en savoir plus consultez la brochure sur l’insuffisance cardiaque sur le site de la Fédération Française Cardiologie

Brochure FFC sur l’insuffisance cardiaque

 

 

 

L’insuffisance cardiaque thème de la conférence de la Semaine du Coeur (première partie)

Mot d’accueil de Michel Antoine, président de Coeur et Santé

Dernière manifestation de la Semaine du Coeur 2024, la conférence sur l’insuffisance cardiaque a eu le mardi 24 septembre à la salle Carbonnar en présence de 79 personnes.

Pour ce faire, le club Coeur et Santé avait invité le Dr Marie-Françoise Bragard, chef du service de cardiologie de l’hôpital.

https://www.google.fr/url?sa=t&source=web&rct=j&opi=89978449&url=https://www.youtube.com/watch%3Fv%3DbxKUWgESPm0&ved=2ahUKEwjMkcna4YaIAxVpTaQEHY2gBPEQtwJ6BAgNEAI&usg=AOvVaw24HGLZSIfZRgtSzVvJM95C

Image extraite du film de l’Assurance maladie sur l’insuffisance cardiaque

Après une vidéo de l’Assurance maladie sur les signe d’alerte, elle a indiqué que l’insuffisance cardiaque est une pathologie en augmentation du fait du vieillissement de la population.

Fréquence de l’insuffisance cardiaque en fonction de l’âge et du sexe

Une maladie fréquente

Concernant 2 à 3 % de la population, elle atteint plus les hommes et augmente avec l’âge (10% chez les plus de 70 ans).

C’est une anomalie de structure ou de fonction de la pompe cardiaque qui entraine une diminution des apports en oxygène et en nutriments nécessaires aux besoins métaboliques des différents organes.

Après un rappel sur l’anatomie et le fonctionnement du cœur, la conférencière a expliqué comment il s’adapte grâce à des mécanismes compensateurs cardiaques (dilatation et hypertrophie et accélération du rythme) et extracardiaques (vasoconstriction et activation de systèmes neuro-hormonaux).

Ils sont initialement  bénéfiques puis deviennent délétères.

L’insuffisance cardiaque est responsable chaque année en France de 160 000 hospitalisation et du décès de 70 000 personnes.

Son coût est de 3 milliards d’euros en 2020, surtout lié aux hospitalisations souvent répétées, d’où l’intérêt du suivi en ambulatoire et développement de la télé surveillance) ainsi qu’aux hospitalisations et à un degré moindre aux différents traitements.

Les signes d’alerte de la maladie sont au nombre de quatre.

On peut les retenir au moyen de l’acronyme de leurs initiales : EPOF.

  • Essoufflement,
  • Prise de poids importante en quelques jour,
  • Œdème des membres inférieurs,
  • Fatigue.

D’abord modéré et survenant à l’effort, l’essoufflement va s’accentuer en l’absence de prise en charge pour survenir même au repos  avec nécessité de dormir en position assise. Parfois la situation peut s’aggraver brutalement sous la forme d’un œdème aigu du poumon nécessitant une hospitalisation en urgence.

Les œdème d’abord limités aux chevilles vont remontrer au niveau des jambes, puis des cuisses et du tronc. Ils sont mous et si l’on appuie avec un doigt cela laisse un creux (c’est le signe dit du « godet ») qui va s’estomper progressivement.

Les autres symptômes sont la toux, des crachats sanglants, des palpitations, des douleurs abdominales, la présence d’eau dans l’abdomen (ascite), autour des poumons (pleurésie) ou du cœur (péricardite).

Tous ces signes, pas forcément spécifiques, imposent de consulter son médecin (voire à appeler le centre 15 en cas œdème pulmonaire).

Ils sont souvent minimisés : « C’est l’âge ! ». D’où un retard à la prise en charge et à la mise en route du traitement.

Le diagnostic

Le diagnostic posé par l’examen du patient : poids, rythme cardiaque, tension, auscultation cardiopulmonaire, évaluation des œdèmes et de la taille du foie, recherche d’une cause et d’un facteur favorisant comme une infection pulmonaire).

Des examens complémentaires, essentiellement un électrocardiogramme et une échographie permettront de confirmer le diagnostic et de préciser la cause de l’insuffisance cardiaque.
Cette échographie est l’examen clé du diagnostic. elle permet :

  • la mesure de la taille des cavités cardiaques,
  • la mesure de la fonction du cœur (fraction d’éjection du ventricule gauche qui est la proportion de sang éjectée à chaque contraction),
  • l’étude des valves cardiaques (rétrécissement, fuite),
  • la mesure des pressions,
  • la recherche d’une atteinte du péricarde,
  • l’étude des vaisseaux (aorte, veine cave inférieure) et de la taille du foie.

Echographie d’un cœur normal (à gauche) et d’une cardiomyopathie dilatée (à droite)

Le bilan biologique comporte entre autres

  • un ionogramme (sodium et potassium),
  • l’étude de la fonction rénale (créatinine et débit de filtration)
  • et le dosage du NTproBNP (un marqueur de l’insuffisance cardiaque). Le taux élevé de ce dernier permet de confirmer le diagnostic et par la suite il va diminuer sous l’effet du traitement.

Si nécessaire, d’autres examens seront réalisés (coronarographie, scintigraphie ou IRM cardiaque, enregistrement prolongé du rythme cardiaque (Holter)…

Ce bilan permettra de :

  • préciser le type de l’insuffisance cardiaque 
    • insuffisance cardiaque « systolique » : la contraction du cœur est moins bonne avec une fraction d’éjection du ventricule gauche diminuée,
    • insuffisance cardiaque « diastolique » : le cœur a du mal à bien se relaxer et il se remplit moins bien alors que la fraction d’éjection est conservée,
  • rechercher l’étiologie de l’insuffisance cardiaque :
    • cardiopathie ischémique (infarctus),
    • hypertension,
    • cardiopathie hypertrophique (épaississement des parois), parfois génétique ou liée à une amylose,
    • atteinte d’une valve, troubles du rythme, maladie du péricarde…
  • de guider le traitement.

Ce dernier sera l’objet d’un deuxième article.

La randonnée urbaine à vélo du 21 septembre

Diagnostic de l’arrêt cardiaque à l’Engrenage

La Semaine du Coeur de la Fédération Française de Cardiologie a lieu cette année du 19 au 29 septembre 2024.

Dans ce cadre, le club Coeur et Santé de Saint-Dié a mis en place trois manifestations.
Première d’entre elles, la randonnée urbaine à vélo du 21 septembre organisée par Coeur et Santé en partenariat avec l’Engrenage a allié la pratique du vélo en ville à la découverte des sites d’implantation de 19 des futurs défibrillateurs en accès public à Saint-Dié dans le cadre de Déo Défib’.

Modalités d’appel des secours au Palais Omnisports Joseph Claudel

Le circuit d’une longueur de 15 km au départ de l’Engrenage passait en centre-ville, puis à Kellermann, à Foucharupt et à Saint-Roch.
Michel Antoine et Jean Louis Bourdon de Coeur et Santé ont fait des démonstrations des gestes qui sauvent à faire en cas d’arrêt cardiaque. Elles ont eu lieu à quatre endroits du circuit :
  • diagnostic de l’arrêt cardiaque à l’Engrenage,
  • modalités d’appel des secours au Palais Omnisports Joseph Claudel,
  • massage cardiaque sur le terrain de sport entre le centre social de Saint-Roch et l’école Jacques Prévert,
  • utilisation du défibrillateur au retour à l’Engrenage.

Démonstration du massage cardiaque sur le terrain de sport de l’école Jacques Prévert

L’usage du défibrillateur expliqué dans la cour de l’Engrenage

Avant le départ, Jean-Pierre Mathieu, président de l’Engrenage, a rappelé à la vingtaine de cyclistes présents les consignes de sécurité.

Des réglages éventuels des casques ont également été fait grâce aux conseils de Cyrile Tisserand de l’association « Il est Encore Temps en Déodatie« .

Pour sa sécurité, bien régler son casque

La randonnée s’est achevée autour du verre de l’amitié offert par les deux associations.

La marche du Coeur du 22 septembre 2024 a eu comme thème les défibrillateurs et les gestes qui sauvent

Apprendre à diagnostiquer un arrêt cardiaque

La Marche du Coeur 2024 (20ème édition), qui partait de la Tour de la Liberté, s’intégrait à la fois dans la Semaine du Cœur de la Fédération Française de Cardiologie et dans le projet Déo Défib’.

Elle avait pour objectifs de faire bouger son corps tout en apprenant tout au long du circuit les gestes qui sauvent et en repérant les emplacements futurs d’une quinzaine de défibrillateurs en accès public 24 heures sur 24.
Au départ, les participants ont appris (ou réappris) comment diagnostiquer un arrêt cardiaque.
A la Nef, il leur a été expliqué comment appeler les secours.
Enfin, au retour à la Tour de la Liberté, avait lieu une démonstration sur le massage cardiaque et l’utilisation d’un défibrillateur.

1 vie = 3 gestes

Pour en apprendre plus sur ces gestes qui sauvent, les participants ont été invités à se former au PSC1 (Premiers Secours Civiques de niveau 1) auprès d’une association de secourisme ou, à défaut, à s’inscrire à la formation gratuite consacrée à la prise en charge de l’arrêt cardiaque organisée par Coeur et Santé le 19 décembre à 18 h 15 à l’Espace Mitterrand.
Les journées de formation pour les élèves de cours moyen auront lieu quant à elles le jeudi 19 décembre et le vendredi 20 décembre dans la journée également à l’Espace Mitterrand. Les inscriptions sont en cours.