Étiquette - nutrition

Alimentation : l’alcool est-il bon ou mauvais pour la santé ?

Deuxième cause de mortalité évitable après le tabac, l’alcool est responsable en France de près de 50 000 décès par an. Sa consommation excessive a également un impact dans la sphère publique, privée et professionnelle : passages à l’acte violents, accidents domestiques, absentéisme…

L’alcoolisation fœtale est par ailleurs la première cause non génétique du handicap mental (1,3 pour 1000 naissances par an). Malgré ces chiffres, on entend parfois dire qu’à faible dose, l’alcool ne serait pas négatif pour la santé… Qu’en est-il réellement ?

Des risques avérés au-delà des doses recommandées

Pour répondre à cette question, il faut prendre en considération de nombreux facteurs :

  • le nombre de verres,
  • le type d’alcool,
  • le mode de consommation
  • l’âge du consommateur.

L’alcool ne peut avoir des effets bénéfiques qu’à certaines conditions :

  • La consommation doit être de légère à modérée : un à deux verres par jour pour les femmes, deux à trois pour les hommes. Les personnes plus âgées doivent également limiter leur consommation à un verre par jour parce que leur organisme métabolise l’alcool moins rapidement.
  • Au-delà de ces limites, la consommation d’alcool augmente les risques de nombreuses maladies : troubles cardio-vasculaires, certains types de cancers, cirrhose du foie, mais aussi risques de chutes et d’accidents de la route.

De légers bénéfices pour la santé cardio-vasculaire à long terme

  • Des études ont montré qu’une consommation d’alcool légère et régulière, un verre par jour, assurait une protection partielle contre les maladies cardio-vasculaires, uniquement à partir de la quarantaine.
  • D’autres ont mis en évidence son effet protecteur contre les accidents ischémiques, puisqu’elle réduirait le risque de formation de caillot. Les raisons qui se cachent derrière ces effets sont encore méconnues même si l’on sait que l’alcool augmente le taux de cholestérol HDL, ce qui réduit la formation des plaques athéromateuses.
  • Enfin, selon certaines études, une consommation légère et régulière pourrait diminuer de 30 à 50 % les risques d’être atteint de diabète de type 2. A petite dose, l’alcool rendrait les cellules du corps plus sensibles à l’insuline, facilitant ainsi le métabolisme du glucose.

Un effet plutôt négatif sur les autres pathologies

  • En ce qui concerne le cancer, les découvertes scientifiques sont formelles : aucun effet protecteur n’a été démontré. Au contraire, puisque les liens entre la consommation d’alcool et certains types de cancers (bouche, gorge, larynx, œsophage, sein, foie et colorectal) sont clairement établis, et ce, même si l’on boit avec modération.
  • D’autre part, il est impératif pour une femme de s’abstenir durant la grossesse. Les effets de l’alcool sur le système nerveux du fœtus peuvent être irréversibles.

Au final, l’alcool ne peut être qualifié de bénéfique pour la santé, au regard des risques importants qu’il fait courir à son consommateur. Consommer un ou deux verres d’alcool tous les jours ne semble pas être la meilleure solution pour être en bonne santé ou pour diminuer les risques de maladies cardio-vasculaires. Cesser de fumer, faire de l’exercice, adopter une alimentation équilibrée sont autant de moyens plus recommandables pour réduire le risque.

 

Source : Fédération Française de Cardiologie (FFC)

Retrouvez la brochure de la FFC sur l’alimentation : https://www.fedecardio.org/sites/default/files/2018-Alimentation.pdf

ainsi que des recettes en vidéo : https://www.fedecardio.org/Je-m-informe/Je-mange-equilibre/idees-recettes.

Alimentation : le chocolat noir, c’est bon pour le cœur

plaque de chocolat

Bonne nouvelle pour tous les gourmands… Manger un ou deux morceaux de chocolat noir quotidiennement est bon pour le cœur. Mais c’est uniquement grâce à la poudre de cacao, très riche en flavonoïdes (pigments antioxydants qu’on retrouve aussi dans le vin rouge ou la tomate).

Ces derniers diminuent la formation de « mauvais » cholestérol et de caillots qui bouchent les artères. Ils évitent ainsi l’augmentation de la pression artérielle.

Alors attention à ne pas confondre cacao… et chocolat !

Dans le chocolat, il y a bien de la poudre de cacao mais aussi du beurre de cacao (bien plus gras) et du sucre en quantité non négligeable.

Le chocolat noir contient au moins 30 % de poudre de cacao, le chocolat au lait environ 20 % et le blanc pas du tout.  « Il est préférable de se faire plaisir avec un ou deux carrés de chocolat noir par jour (soit 10 à 20 g) » prévient le Docteur François Paillard, cardiologue et Vice-Président de la Fédération Française de Cardiologie.

Le chocolat noir : des effets positifs sur le système cardio-vasculaire

  • Le chocolat noir diminue la pression artériellle

Le cacao est l’un des aliments les plus riches en flavonols (les antioxydants les plus efficaces des flavonoïdes) qui apportent un effet favorable sur la pression artérielle. Ils exercent des effets bénéfiques sur le cœur (effet anti-inflammatoire, amélioration de la sensibilité à l’insuline, diminution de l’agrégation plaquettaire).

Les flavonols du cacao améliorent la vasomotricité (élasticité des vaisseaux sanguins) en se fixant sur les cellules qui recouvrent les vaisseaux, ce qui déclenche la synthèse d’oxyde nitrique ayant pour propriété d’entrainer la relaxation des cellules et ainsi diminuer la pression qui se trouve à l’intérieur des artères. Les études cliniques chez l’homme ont effectivement montré un effet significatif  bien que modeste sur les chiffres de pression artérielle systolique (cœur au repos) et diastolique (cœur contracté). « A condition bien sûr, de respecter certaines quantités, soit 50 mg de flavonols de cacao par jour », rappelle le Dr Paillard.

  • Le chocolat noir n’augmente pas le cholestérol !

Le cacao est riche en lipides (42 % pour le chocolat noir) mais le principal acide gras du cacao est l’acide stéarique (acide gras saturé) qui n’est pas considéré comme hypocholestérolémiant au contraire des autres saturés. Le chocolat noir riche en cacao peut protéger l’organisme grâce aux flavonols qui permettent de diminuer la concentration de mauvais cholestérol et ainsi éviter de boucher les artères. La vitamine B3 contenue dans le chocolat noir permet également de réduire l’encrassement des artères.

  • Le chocolat noir pour lutter contre le stress et les baisses d’énergie !

Le chocolat a un effet anti-fatigue et anti-déprime car le cacao qu’il contient est riche en magnésium (100 g de chocolat contient 112 mg de magnésium). De nombreuses études affirment que le magnésium est efficace contre les effets négatifs du stress, il participe aussi à la diminution du risque d’apparition du diabète et réduit donc le risque d’un infarctus du myocarde. Un manque de magnésium entraîne une baisse d’énergie, une sensation d’épuisement, de fatigue chronique et de fatigabilité à l’effort.

 

Source : Fédération Française de Cardiologie (FFC)

Retrouvez la brochure de la FFC sur l’alimentation : https://www.fedecardio.org/sites/default/files/2018-Alimentation.pdf

ainsi que des recettes en vidéo : https://www.fedecardio.org/Je-m-informe/Je-mange-equilibre/idees-recettes.

Le Nutriscore : un outil pour y voir clair dans le choix de nos aliments

Photo sur le Nutricode

Le Nutriscore : un outil pour y voir clair dans le choix de nos aliments

Pour rendre plus lisible et compréhensible l’étiquetage nutritionnel, un logo peut désormais être apposé sur les emballages. Conçu dans le cadre du Programme National Nutrition Santé, le Nutri-Score fera ainsi progressivement son apparition dans les rayons. Explications.

Obligatoire sur tous les aliments préemballés, le tableau des valeurs nutritionnelles est bien souvent difficile à décrypter pour les consommateurs. Valeur énergétique des produits, teneurs en graisses, acides gras saturés, glucides, sucres, protéines et sel pour 100 g ou 100 ml de produit : les informations y sont nombreuses. Pour en faciliter la compréhension, le règlement européen autorise l’apposition d’une information nutritionnelle complémentaire sur les emballages.

Dans le cadre de la loi de Santé de 2016, le gouvernement français a recommandé la mise en place d’une information nutritionnelle claire, visible, et facile à comprendre pour tous. L’objectif : améliorer l’information nutritionnelle figurant sur les produits et ainsi aider les consommateurs à acheter des aliments de meilleure qualité nutritionnelle.

Photo de différents aliments

Quelle forme prend cette information nutritionnelle ?
C’est le Nutri-Score, un logo à 5 couleurs apposé sur la face avant des emballages, qui a été retenu pour présenter cette information.

Le Nutri-Score, grâce à une lettre et à une couleur, informe les consommateurs sur la qualité nutritionnelle d’un produit. Chaque produit est ainsi positionné sur une échelle à 5 niveaux allant :

  • du produit  le plus favorable sur le plan nutritionnel (classé A)
  • au produit le moins favorable sur le plan nutritionnel (classé E)

La catégorie à laquelle appartient l’aliment est mise en exergue sur le logo par une lettre plus grande.

Les 5 lettres du Nutriscore (de A, à préférer, à E, à éviter

Les 5 lettres du Nutriscore

Comment est calculé le score d’un produit ?

Pour classer chaque produit, des équipes de recherches internationales ont mis au point un score qui prend en compte, pour 100 grammes de produit, la teneur :

  • en nutriments et aliments à favoriser : fibres, protéines, fruits et légumes
  • en nutriments à limiter : énergie, acides gras saturés, sucres, sel

Après calcul, le score obtenu par un produit permet de lui attribuer une lettre et une couleur.

Pour tenir compte des spécificités de certaines familles d’aliments telles que les matières grasses ajoutées (beurre, huile), les fromages ou encore les boissons, la méthode de calcul du score a été adaptée.

Quels sont les produits concernés par le logo ?

À quelques exceptions près (herbes aromatiques, thés, cafés, levures, etc.), tous les produits transformés et les boissons sont concernés par le Nutri-Score. Les produits non transformés comme les fruits et légumes frais ou le poisson frais ne sont pas concernés, de même que les boissons alcoolisées.

Toutefois, l’application du Nutri-Score est facultative, elle repose sur le volontariat des entreprises de l’agroalimentaire et des distributeurs.

Photo de bananes, tomates, piments verts et poivrons

5 portions de fruits et légumes recommandées chaque jour

Comment le Nutri-Score vous aide-t-il à choisir les produits que vous achetez ?

Complémentaire des repères du PNNS qui recommandent, par exemple, de consommer au moins 5 fruits et légumes par jour ou de limiter la consommation de produits sucrés, le Nutri-Score peut vous aider lorsque vous faites vos courses à :

  • choisir entre plusieurs produits d’un même rayon : les céréales du petit-déjeuner, par exemple, peuvent avoir un score compris entre A et E. En un coup d’œil, vous pourrez choisir, parmi vos céréales préférées, celles qui ont la meilleure qualité nutritionnelle.
  • comparer la qualité nutritionnelle pour un même produit de différentes marques : les lasagnes à la bolognaise vendues en grande distribution, par exemple, peuvent être classées en A, B, C ou même D selon les marques.

Quand ce logo sera-t-il mis en place ? 

Le Nutri-Score devrait apparaître progressivement au cours des 6 prochains mois sur les emballages des produits des marques qui se sont engagées à l’utiliser afin de donner une information nutritionnelle facilement compréhensible, et sur les sites e-commerce des distributeurs engagés.

33 industriels déjà engagés

Depuis l’officialisation du Nutri-Score par le gouvernement, 33 industriels et distributeurs de l’alimentation se sont d’ores et déjà engagés à apposer ce logo sur leurs produits.

  • des grands distributeurs tels que Leclerc, Auchan, Intermarché et Casino vont apposer le Nutri-Score sur les produits de leurs marques.
  • des industriels de l’agro-alimentaire tels que Danone, Bonduelle, McCain et Fleury Michon se sont également engagés.

Pour en savoir plus :

 

Choisir des produits de meilleure qualité nutritionnelle coûte-il plus cher ?

Pas forcément. Une étude basée sur un supermarché expérimental en ligne a mis en évidence que, si le Nutri-Score permet au consommateur d’améliorer la qualité nutritionnelle de son panier d’achat, il n’augmente en rien son prix moyen.

 

Cet article est extrait du site du Programme National Nutrition Santé sur lequel vous trouverez une foule d’informations : http://www.mangerbouger.fr

 

Note :

Si des sociétés (voir liste ci-dessus) se sont engagées en faveur du Nutriscore, sa mise en place fait l’objet d’un lobbying intense auprès des parlementaires de la part des grands groupes agroalimentaires. Ces multinationales veulent mettre en place un autre indice, le Nutricouleur qui fait référence aux apports quotidiens des différents composants du produit ce qui, comme l’indique l’association UFC-Que choisir, va à l’encontre « de l’intérêt des consommateurs en les empêchant de comparer les produits« . En effet, le Nutricouleur, contrairement au Nutricore, ne renseigne pas sur la valeur nutritionnelle du produit.

Photo du Nutricouleur préféré par le lobby agro-alimentaire

Exemple de Nutricouleur, préféré par le lobby agro-alimentaire

Alimentation : réduire sa consommation de sel

Photo d'une salière

Le sel est connu depuis la Préhistoire pour ses caractéristiques d’assaisonnement mais aussi de conservation des aliments. Aujourd’hui, les plats transformés industriels en abusent et sont pourtant de plus en plus privilégiés par les Français, qui ne prennent plus le temps de cuisiner !

Ce choix n’est pas sans conséquence sur la santé. La surconsommation de sel contribue à l’hypertension artérielle et augmente le risque de cancer de l’estomac, le deuxième cancer plus meurtrier. Alors, comment réduire sa consommation pour s’en préserver …

Le sel à petite dose

A l’origine, l’alimentation humaine ne contenait pas de sel. C’est le développement de l’agriculture et de l’élevage qui a précipité son arrivée pour conserver les denrées alimentaires. L’organisme n’est donc pas habitué aux fortes doses de sel. L’ANSES estime ainsi que 2 g de sodium par jour (soit près de 5 grammes de sel) suffit pour éviter toute carence ; au-delà, les risques sont avérés.

Scruter les étiquettes

Du sel, il y en a partout ou presque : il est donc indispensable de bien lire les étiquettes. Pour avoir une bonne idée de la quantité de sodium que contient un produit, on peut se référer au pourcentage de l’apport suffisant quotidien. Si un aliment représente 80 % de l’apport recommandé, il ne restera pas beaucoup de place pour autre chose ! La recherche sur les étiquettes des mots « sans sel ajouté » ou « peu salé » est encouragée, tout comme la comparaison des teneurs en sodium de plusieurs aliments réputés salés. Les plus courants sont notamment le pain, les charcuteries, les soupes préparées et les fromages.

La cuisine maison

Le sel est un allié précieux de l’industrie agroalimentaire. Connu comme le principal « exhausteur » de goût, il permet de faire ressortir les saveurs d’un plat, même insipide, en plus d’avoir des propriétés conservatrices connues de longue date. Mais il joue également un rôle dans la texture de certains aliments en permettant de retenir l’eau et donc, indirectement, d’augmenter le poids des denrées. Une manne pour l’industrie !

Tous les mélanges de riz, de pâtes, les aliments en conserve, les noix salées, les sauces commerciales et les plats préparés sont donc à éviter, de même que les plats surgelés et les repas de type fast-food. En réalité, plus on cuisine à partir d’aliments frais, plus on diminue sa consommation de sel !

Oser les alternatives !

Le sel est connu pour rehausser la saveur des plats, mais il peut être remplacé par bien d’autres ingrédients comme les herbes aromatiques (fraîches ou séchées) ou le citron qui offrent des saveurs très diversifiés. Il est possible aussi d’opter pour le sel diététique qui a un goût semblable au sel de table mais ne contient que 30 % de chlorure de sodium.

Originaires du japon, le gomasio (fait de sel marin et de sésame grillé) ainsi que l’algue noire sont d’autres alternatives intéressantes tout comme le sel fou, un mélange d’épices et d’aromates qui vient de l’île de Ré.

 

Source : Fédération Française de Cardiologie (FFC)

 

Retrouvez la brochure de la FFC sur l’alimentation : https://www.fedecardio.org/sites/default/files/2018-Alimentation.pdf

ainsi que des recettes en vidéo : https://www.fedecardio.org/Je-m-informe/Je-mange-equilibre/idees-recettes.

 

Alimentation : diversifiée et variée

Photo d'un panier de fruits, légumes et pâtes

Chaque famille d’aliments a sa place, quotidiennement, dans notre assiette. Tous sont absolument indispensables pour assurer notre équilibre nutritionnel, certains cependant doivent être consommés avec modération, tandis que nous devons en privilégier d’autres.

  • Les féculents : préférer les consommer complet ou semi-complet (riz, pain complet, pâtes, pois chiches, lentilles, semoule, etc.) doivent être consommés à chaque repas, selon l’appétit. Ils permettent d’être rassasié et de disposer d’énergie sur le long terme.
  • Les fruits et légumes : 5 portions minimum par jour (1 portion = 80 g), apportent vitamines, minéraux et fibres. À consommer cru ou cuits, frais, surgelés natures.
  • Viandes, poissons et œufs, une portion une ou deux fois par jour (une portion = 100 g de viande ou poisson, ou deux tranches de jambon ou deux œufs) pour l’apport essentiel en protéines et en fer. Préférez les viandes blanches ainsi que les poissons « gras » (hareng, maquereau, sardine, etc.) riches en oméga-3. Autre source de protéines : les légumineuses (lentilles, pois, fèves, soja) associées à des céréales permettent de couvrir ses apports en protéines.
  • 3 produits laitiers par jour, pour les apports en calcium nécessaires à l’entretien de la masse osseuse, mais aussi pour la coagulation sanguine. Une portion équivaut à 150 ml de lait, deux petits suisses ou un morceau de fromage de 30 g. Évitez les desserts lactés industriels comportant trop peu de lait et trop de sucres et graisses ajoutées.

Schéma 30 minutes

 

  • La consommation des matières grasses visibles (beurre, huile, crème fraiche, margarine) et cachées (plats préparés, charcuterie, viennoiseries, friandises, gâteaux, etc.) doit être limitée, car elles augmentent les risques de surpoids, certaines influant directement sur le risque cardio-vasculaire. Préférez l’utilisation d’huiles végétales à la cuisson et à cru : cuisinez à l’huile d’olive, introduisez une poignée de noix, amandes ou noisettes (non salées) dans votre alimentation pour leurs apports en oméga-3 et 6, antioxydants et vitamines.
  • La consommation de produits sucrés (sodas, gâteaux, bonbons, glace, pâtisseries, etc.) doit rester exceptionnelle, tant ceux-ci contribuent au surpoids.
  • Enfin, l’eau reste la seule boisson indispensable et la moins coûteuse. Pendant ou en dehors des repas, on doit en boire au moins un litre et demi, nature ou sous forme de boissons chaudes (thé, tisane, etc.)

L’équilibre se fait sur une journée, voire la semaine. Un repas trop gras ou trop sucré peut dès lors être compensé en variant et rééquilibrant son alimentation dans les repas suivants.

 

Source : Fédération Française de Cardiologie (FFC)

Retrouvez la brochure de la FFC sur l’alimentation : https://www.fedecardio.org/sites/default/files/2018-Alimentation.pdf

ainsi que des recettes en vidéo : https://www.fedecardio.org/Je-m-informe/Je-mange-equilibre/idees-recettes.